Nos consultants ont une double vie : Patryk Nosalik

Date
17 juin 2021

Partagez un bout de la vie de nos collaborateurs en découvrant leurs hobbies ! Patryk Nosalik, d²X Suisse, nous parle de sa passion pour l'alpinisme.

 

Tir campagneQuelle est ta passion ?

Je fais de l’alpinisme. En réalité il s‘agit plutôt de la pratique d’une famille d’activités que d’un simple loisir.

 

Quand et comment as-tu commencé ?

J’ai commencé à connaitre les montagnes grâce à mes parents. Je suis né en Angleterre mais je suis d’origine polonaise, donc presque toutes mes vacances se sont déroulées en Pologne. Nous allions au Sud du pays, à Zakopane, chez mes grands parents dans les Tatras (chaîne de montagnes entre la Pologne et la Slovaquie), dont le sommet le plus haut atteint les 2 655m.

Il est vrai que le sommet peut paraître bas comparé au Mont Blanc, en revanche je trouve les Tatras plus beaux car leur altitude permet notamment d’admirer les arbres, les pins de montagne, et la roche granite dans une même journée.

Mes parents se baladaient toujours dans les vallées, et étant enfant je n’étais jamais pleinement satisfait par ces balades. Encore aujourd’hui, j’ai besoin de me surpasser, d’aller plus vite, plus loin, plus haut. J’ai donc rejoint les scouts pour trouver d’autres personnes qui aiment la randonnée autant que moi. J’ai acheté mon premier piolet en juin 2000, car je ne pouvais pas évoluer sur de la glace sans cet outil !

 

Qu’est ce qui te plaît dans cette pratique ?

Ce n’est pas un simple hobby pour moi, c’est une réelle passion pour les montagnes. A partir d’une certaine altitude, il faut bien préparer son ascension, comme pour le Chan Tengri (Kirghizstan, 6995m), que j’ai grimpé vers mes 35 ans. Quand j’ai habité en ville, j’ai commencé à courir dans une petite forêt, proche de la ville. Cette forêt regroupe plusieurs sentiers, et j’ai commencé à apprécier la course. C’est ainsi que j’ai commencé le trail running.

Quand la météo n’est pas favorable à l’escalade en hauteur (qui requiert au moins une journée ou deux), on a toujours la possibilité de faire un cours de 3 à 4h à la base de la montagne. D’un autre côté, on peut faire de l’escalade en salle de grimpe, mais je rêve toujours de grimper sur une crète d’environ 4 000m, voire plus…

 

Et dans ton quotidien, comment s’inscrit ta passion ?

Très difficilement ! (rires) Tout d’abord parce que j’ai des enfants (3 et 5 ans) et ensuite parce que je viens tout juste de m’installer dans la région. De plus, je dois régulièrement suivre des séances de kinésithérapie pour une capsulite de l’épaule… Mais j’ai toujours un plan (je suis Chef de projet, après tout…) !

Le petit plus d’avoir trouvé du travail en Suisse est de pouvoir rejoindre le CAS, le Club Alpin Suisse. En revanche, il va falloir faire un choix entre le CAS de Genève, ou de Carouge en fonction du type de sorties (Peu Difficile/Assez Difficile/Difficile) les plus fréquentes… Les Suisses, si vous avez des conseils, merci de partager !

Ceci étant dit, comme mentionné précédemment, il est toujours possible de faire des exercices ou d’autres loisirs autour de l‘objectif principal !

 

As-tu acquis des compétences que tu utilises dans ta vie professionnelle ?

Oui, en Pologne, j’étais accompagnateur en montagne pour aider les personnes moins expérimentées. C’est ainsi que je pratique le leadership : il faut parfois prendre les décisions avec autorité !

Maintenant que j’y pense, je passe plus de temps pour PMI Suisse qu’à pratiquer ma passion pour l’alpinisme, je vous en parlerais peut-être dans un autre article sur ma double triple vie !

De dos (crédit photos : Patryk Nosalik)

Merci Patryk pour ton témoignage !

 

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